Hyperactivité, pourquoi penser aux réflexes archaïques ?
- companosteopathe
- 12 sept. 2024
- 1 min de lecture
Votre cerveau qui ne s'arrête jamais de tourner
Les pensées qui se succèdent
Trop d'idées en tête
Le petit vélo dans la tête qui ne fait que pédaler
Le mental qui ne se pose pas, qui ne décroche pas
Besoin de s'adonner à une tâche
Des difficultés de concentration, d'attention
Ça vous parle ? C'est ce qu'on appelle l'hyperactivité cognitive
Des difficultés de gestion émotionnelle, de gestion du stress
Les trop pleins émotionnels
Des changements d'humeurs trop rapides, imprévisibles
Des crises de colères, de pleurs
Une intolérance à la frustration
Ça vous parle ? C'est ce qu'on appelle l'hyperactivité émotionnelle
Des difficultés à rester en place, à rester assis
L'impulsivité
La difficulté à attendre
Le besoin d'agir, de s'occuper
La tendance à interrompre les activités des autres
Parler excessivement
Avoir de la difficulté à jouer tranquillement
Se sentir agité
Ça vous parle ? C'est ce qu'on appelle l'hyperactivité motrice
Des réflexes archaïques peuvent être à l'origine ou entretenir ces hyperactivités :
· Réflexe de Moro
· Réflexe de Galant
· Réflexe de Perez
· Réflexe tonique symétrique du cou
· Réflexe de redressement statique
Et si vous veniez intégrer vos réflexes archaïques ?
Ça donnerait quoi de se rendre compte qu'on peut aussi fonctionner différemment ?
Que ça peut, se poser en vous...
Que toute cette agitation peut cesser...
Wouah ! Tentant ?
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